Baladez-vous dans le centre historique

Durant votre premier jour dans la ville, inutile d’aller plus loin, visitez simplement la ville. Perpignan regorge de maisons dans des styles uniques. D’ailleurs, ses édifices sont de véritables plaisirs pour les yeux et sont classés comme étant des trésors nationaux.

Longez les ruelles de la ville en mangeant une bonne glace, et à l’heure du déjeuner, arrêtez-vous dans l’un des nombreux restaurants avec terrasse de Perpignan pour profiter pleinement de votre journée. Le soir venu, les discothèques de la capitale se feront un plaisir de vous accueillir pour une nuit inoubliable.

Rendez-vous ici pour d’autres endroits à visiter à Perpignan. Les paragraphes qui suivent vous proposent également d’autres monuments historiques qui montrent la richesse culturelle de cette ville.

Visitez le palais des Rois de Majorque

Le palais des Rois de Majorque est l’un des édifices les plus célèbres de Perpignan. Il a été construit au 14e siècle pour la gloire des souverains de Majorque. Il vous est possible de le visiter en quelques heures pour vous imprégner de la magnificence du lieu et des nombreuses œuvres d’art qui le composent.

Le palais des Rois de Majorque est incontestablement inégalé, tant par sa splendeur que son coût. À la fin de la visite, vous aurez largement le temps d’explorer un autre lieu incontournable de Perpignan.

Admirez la plus célèbre cathédrale de Perpignan

Vous ne pouvez pas passer par Perpignan et ne pas admirer la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de plus près. Vous n’aurez pas besoin de guide pour vous raconter l’histoire de cette église qui, à n’en point douter, est représentative du style gothique du 17e siècle. L’atmosphère du lieu est unique en son genre : un mélange surprenant de calme et d’agressivité.

D’après ceux qui l’ont déjà visité, il y règne un respect intemporel. Il est certain qu’en ressortant de la cathédrale, vous serez empli d’un calme et d’une paix intérieure ancrés dans votre être.

Le matériau

La chose la plus importante à laquelle vous devez penser lorsque vous achetez un tableau blanc interactif est la conception du tableau lui-même. Le prix n’étant pas nécessairement synonyme de performance, vous devez vous pencher sur la qualité et la durabilité des matériaux utilisés pour sa construction.

La surface et le cadre sont-ils faits de matériaux robustes ? Résistera-t-il à des années d’utilisation dans une salle de classe, dans une salle de réunion ou dans le salon d’une famille ? Est-il facile à déplacer ? Si vous voulez quelque chose qui durera toujours, la durabilité doit être une préoccupation majeure.

La taille

Le tableau numérique interactif existe en différentes tailles. Votre choix doit donc se faire en fonction de l’utilisation que vous prévoyez. Vous devez vous assurer qu’il peut tenir dans votre espace (ou dans le coffre de votre voiture si vous devez le déplacer entre différents endroits). Pour cela, il vous est recommandé un TNI mobile.

Il est également important de penser à votre public cible lorsque vous décidez de la taille de l’appareil. Si vous travaillez dans l’enseignement et avez une classe nombreuse, vous aurez besoin d’un appareil plus grand.

Le design et les fonctionnalités

On n’y pense pas souvent, mais le design est l’un des premiers critères à considérer dans l’achat d’un TBI mobile à l’écran interactif. Si vous souhaitez l’utiliser dans le milieu professionnel, l’écran doit être présentable. Parmi les nombreux modèles proposés, vous trouverez sans doute celui qu’il vous faut.

Au-delà de l’aspect esthétique, pensez aux fonctionnalités du dispositif. Est-ce que vous pouvez l’emmener partout ? Quels sont les accessoires offerts avec ? Le TBI permet-il de projeter des vidéos pour servir d’écran de divertissement pour les films et les jeux vidéo ? En répondant à ces questions, vous trouverez facilement le tableau interactif qu’il vous faut.

Quelle formation pour devenir Architecte d’intérieur ?

Pour bénéficier du titre d’architecte d’intérieur, vous devez être titulaire d’un bac +5 dans les domaines suivants : Architecte d’intérieur et designer produit. Toutefois, si vous êtes titulaire d’un bac +2, vous pouvez exercer en tant que technicien concepteur ou collaborateur d’architecte d’intérieur. En effet, afin d’exercer le métier d’architecte d’intérieur, vous n’êtes pas obligé d’obtenir un diplôme reconnu.
L’architecte est doté d’un sens aigu d’analyse, mais aussi d’écoute afin de comprendre les besoins du client et de mettre en œuvre ses compétences. Il peut à la fois travailler au sein d’une agence, mais aussi en libéral.

Les qualités requises pour devenir architecte

Pour pouvoir se lancer dans cette carrière, il doit au moins savoir écouter, mais aussi être créatif dans ses réalisations. L’architecte est un artiste qui met en œuvre ses savoirs faire dans le domaine du réaménagement intérieur. C’est pourquoi il est essentiel qu’il sache au minimum dessiner et utiliser un ou 2 logiciels de 3D. Mais pour couronner le tout, il doit être très réactif, dynamique et rigoureux afin de faire de son mieux pour aider le client à réaliser son rêve.

Les rôles d’une hôtesse/steward

Les stewards (masculin) et hôtesses de l’air (féminin) sont ce qu’on appelle les PNC ou Personnels Navigants Commerciaux. Ils ont diverses missions sur un vol.
Ils vérifient la fonctionnalité des appareils et équipements de la cabine tels que l’état des toboggans, l’emplacement des gilets, etc.
Ils accueillent les passagers lors de l’embarquement et les guident à leurs places.
Ils énoncent les consignes de sécurité aux voyageurs et leur montrent les dispositifs de sauvetage.
Ils veillent au confort des passagers en répondant avec amabilité aux demandes de ces derniers.
Ils tiennent les passagers au courant du déroulement du vol.
Ils sont responsables du service à bord de l’avion.
Ils sont également chargés de l’approvisionnement et de la gestion des stocks.

Les qualités exigées par ce poste

Pour devenir hôtesse de l’air ou steward, il ne suffit pas d’avoir le diplôme adéquat. Ce poste exige aussi certaines qualités personnelles importantes, notamment :
Être ponctuel : la ponctualité est une qualité nécessaire dans n’importe quel travail.
Savoir contrôler ses émotions : face aux passagers difficiles, un PNC doit toujours faire preuve de sang-froid.
Savoir s’adapter : il ou elle doit manipuler des outils et des équipements qui évoluent avec le temps. Un bon PNC doit donc s’adapter à ces différents changements car même les demandes des voyageurs évoluent.
Être en bonne condition physique : ce travail requiert une résistance physique et mentale pour faire face aux situations qui peuvent subvenir.
Avoir une bonne élocution, être courtois et empathique afin de faciliter la communication avec les passagers, et bien entendu, maîtriser plusieurs langues.

Faire ce qui vous passionne

En principe, les experts conseillent toujours aux jeunes de faire ce qui les passionne. C’est la garantie de passer des jours paisibles. Un travail est en effet à garder toute sa vie. Travailler dans un domaine que l’on aime est donc important. Sans compter que cela booste la créativité et le sens de l’initiative. De plus, faire un travail passionnant aide à améliorer la confiance en soi.

Se laisser guider par les tests de personnalité : bonne ou mauvaise idée ?

Une autre astuce serait aussi de se laisser guider par les tests de personnalités en ligne ou dans les magazines. Mais marchent-ils vraiment ? Là est la question.
Les tests de personnalité ont aidé bon nombre de carriéristes à tracer leur route. Baser sur des questionnaires psychologiques et des codes de compatibilité, ces derniers peuvent en effet aider les jeunes indécis à trouver leur carrière idéale. Mais ils ne sont pas surs à 100 %. Ils ne donnent que des indices aux jeunes, qui au final, prennent souvent leur décision sous l’influence de leur entourage.

Suivre la tendance du marché

Pour éviter le chômage et la difficulté à trouver un emploi, il faut également s’inspirer de la tendance du marché. Certains secteurs sont plus rentables que d’autres. Tel est le cas par exemple de l’informatique, de la prise en charge d’enfant en bas âge, voire de la restauration.

Choisir en fonction de son cursus et de ses objectifs professionnels

Etant donné que le stage est un complément de formation, il doit être en accord avec les études réalisés et avec les compétences acquises. Il est destiné à appuyer votre CV et apporter plus de chance à être sélectionner à une prochaine embauche. Il est donc normal qu’un stage soit en parfaite cohérence avec vos diplômes et avec vos projets professionnels. Renseignez-vous au maximum sur les tâches à réaliser au cours de votre stage, sur les missions et le fonctionnement de l’entreprise, mais surtout sur les indemnités et avantages en numéraires octroyés aux stagiaires.

Bien définir les missions et le but du stage

Si pour la majorité, le stage est obligatoire et vise à valider une formation universitaire, pour d’autres il ne s’agit que d’un simple stage découverte destiné à s’apprivoiser avec le monde professionnel. Ainsi, choisissez en fonction de vos objectifs, le choix semble être beaucoup restreint pour le stage de validité de formation qui doit suivre les instructions exactes des établissements de formation. Par contre pour les stages découverts, l’étudiant a une grande liberté de choix, en fonction de sa propre vision et de ses propres objectifs.

Effectuer son stage dans une Start-up ou dans une grande entreprise ?

Les grandes entreprises permettent de valoriser votre CV et vous offre l’opportunité de tisser des relations utiles pour votre avenir professionnel. Faire un stage dans une grande entreprise semble être ainsi plus avantageux que dans un PME ou dans une start-up. Cependant, méfiez-vous, elles ont de nombreux salariés, ce qui fait que les stagiaires n’ont pour la plupart du temps aucune mission à effectuer et se bornent juste à faire des photocopies ou à apporter des cafés, donc aucune expérience ni compétence acquise.
L’idéal c’est donc de s’orienter vers les start-up qui donnent aux stagiaires une plus grande responsabilité et des expériences en équipe riche et gratifiante. Vous aurez l’occasion de réaliser des projets importants et de profiter d’une ambiance de travail plus conviviale et confortable.

Toujours commencer dans le bas de l’échelle

Qui dit plan de carrière entend un début dans le bas de l’échelle. N’importe quel responsable et dirigeant d’entreprise a, un jour, commencé en tant que stagiaires ou personnel dans les chaines de production.
C’est d’une importance capitale pour la suite de votre plan de carrière. Vous serez ainsi plus à même de comprendre le processus de fabrication des produits et le rythme ainsi que les conditions de travail des ouvriers. Cela fera automatiquement de vous un bon chef.

Avoir un but à atteindre

Mais, même en commençant à la base de l’échelle, vous devez avoir toujours un objectif à atteindre. Ce peut être finir chef d’équipe ou monter plus haut dans la chaine. Ce peut être également dans la même entreprise comme dans une autre. Tout comme ce peut être la création de votre propre entreprise. Qui sait ?
C’est notamment cet objectif, et la route que vous avez emprunté pour l’atteindre qui constitueront votre plan de carrière. Il vous fera avancer et vous donnera du courage quand, dans certains jours, les choses commencent à être difficiles.

Bien choisir son domaine

Établir un plan de carrière se fait dès lors que vous faites un choix de cursus universitaire. Dans le meilleur des cas, ce doit être un secteur qui vous passionne. C’est le meilleur moyen pour suivre son plan de carrière.
Pour choisir votre domaine d’activité, plusieurs astuces vous sont données au fil du temps. Au lycée, ce sera le rôle du conseiller d’orientation, tout comme c’est le cas dans les universités. Vous pouvez vous fier aux avis de votre entourage. Mais la base est surtout de savoir quels sont vos domaines de prédilection et vos compétences. Ce n’est pas la peine de faire des études en Webmarketing par exemple, si vous êtes plutôt un passionné d’art.

S’imposer, mais toujours dans le respect

De plus en plus usités par les recruteurs, les entretiens de groupes fonctionnent comme une sorte de débat. Les recruteurs proposent des questions que chaque postulant doit répondre du mieux qu’ils peuvent.
En général, afin de mieux contrôler la situation, il y aura dans les 5 personne par groupe. Vous devez savoir faire la différence, imposer vos idées, mais sans pour autant dénigrer les autres. Il faut toujours être dans le respect.

Une attitude passive est à bannir

Dans un entretien en groupe, une attitude passive est à bannir. Cela laisse la place à l’hésitation et vous fera disparaitre dans le lot de personne interrogée. Vous ne semblerez donc pas présenter des intérêts évidents pour le poste, ou pas avoir les épaules pour diriger un groupe. Et ce sont des points essentiels pour arriver à l’étape suivante du recrutement.
Pendant l’entretien, prenez le temps de bien écouter les arguments des autres avant de répondre. Il ne faut pas non plus être dans l’agressivité. Vous devez donner des réponses pertinentes, faciles et compréhensibles, mais aussi techniques que possible. Rien ne sert de se précipiter à répondre pour s’affirmer.

Une tenue adéquate

La réussite d’un entretien ne dépend pas uniquement de vos compétences et de vos connaissances. La première impression est toujours d’une grande importance. En ce sens, vous devez choisir LA tenue idéale pour participer à l’entretien.
Chic et élégant : c’est le mot d’ordre. Bien évidemment, rien ne vous empêche de mettre un jean pour peu qu’il soit combiné de manière à donner une image professionnelle.
Pour ce qui est des couleurs : le noir et blanc est des valeurs sûres. Il n’empêche que n’importe quel ton doux pourra amplement faire l’affaire. Il semblerait que le bleu soit la couleur de la sincérité et qu’elle apaise. Ce peut être une autre alternative intéressante.

De nouvelles fonctions : certains en veulent et d’autres non

Un employé toujours désireux d’améliorer la qualité de son travail aura tôt fait d’être remarqué par son responsable. Et au bout d’un moment relativement court, il aura de fortes chances de se voir confier de nouvelles fonctions au sein de l’entreprise. Une telle promotion couronne des années d’efforts constants et appréciée de ceux qui en sont l’objet. Mais voilà, une telle opportunité processionnelle peut poser problème : on ne sait pas assumer ces nouvelles fonctions, notamment si c’est pour endosser le rôle de dirigeant. Comment faire ?

Que faire pour être capable d’assumer de nouvelles fonctions ?

Obtenir une belle promotion, surtout celle qu’on vise depuis longtemps, apporte une joie indicible bien souvent. On se sent fier, et cette nomination conforte l’estime de soi, de ses aptitudes professionnelles et de ses compétences. C’est une chance qui n’est pas donnée à tout le monde, la rendant encore plus précieuse. Maintenant qu’il faut assumer les nouvelles fonctions, on est coincé. Un expert dans son domaine peut être propulsé au statut de dirigeant, ce qui est extraordinaire mais il ne saura pas forcément comment cela se passe. Il n’y est pas préparé. Heureusement, de nombreuses entreprises approuvent la rencontre avec un coach qui va aider dans cette nouvelle prise de fonction. Les séances sont organisées autour de plusieurs thèmes et relativement à des situations auxquelles le promu va devoir faire face. Cela comprend entre autres choses la prise de parole en public et la participation à des réunions entre responsables, ce qui implique des qualités de poids comme la confiance en soi.

Assumer de nouvelles fonctions : l’apprentissage

Lors des séances avec un coach en entreprise, le nouvellement promu doit faire certains exercices. Ils ont pour but de lui apprendre à assumer ses nouvelles fonctions. Par exemple, il devra répondre à la question : ” Qui est, à votre avis, la personne incarnant la mieux la confiance en soi ?” Sur une liste, il inscrira les critères qui représentent cette qualité chez la personne qu’il aura désignée. Ces critères comprennent les comportements, les attitudes, les gestes, les postures, la façon de parler etc. Le fait est que se projeter sur quelqu’un d’autre permet de clarifier sa propre vision des choses. Ensuite, le coaché est invité à s’autoévaluer sur la base des 5 critères les plus importants de sa liste et de s’attribuer une note. Grâce au coaching, celui qui assumera de nouvelles fonctions va peu à peu découvrir les moyens d’utiliser ses propres ressources et de mettre en œuvre des outils pratiques pour atteindre ses objectifs.

Un travail épanouissant

Certes, il a été dit « Tu mangeras à la sueur de ton front », mais cela ne signifie pas que l’on doit souffrir dans son travail. Le travail ne doit pas être une corvée que l’on doit faire jusqu’à la fin de nos jours. Au contraire, le travail doit être source d’épanouissement. Il a été psychologiquement prouvé que si l’on se sent bien dans son travail, notre bien-être s’accroît. En plus, un travailleur heureux est plus efficace. Et la passion est le moteur de tout ça. Avec un métier-passion, l’auto-gratification sera le quotidien du travailleur. On s’épanouit dans le travail… On est heureux… On est plus passionné… On travaille efficacement. Un vrai cercle vertueux !

La question du marché du travail

Malheureusement, les étudiants ont tendance à choisir leur parcours en fonction des emplois présents sur le marché, au détriment du métier de leur rêve Et pourtant, le marché du travail évolue et cela à un rythme de plus en plus rapide. Des métiers naissent et des métiers disparaissent. Et la rentabilité du job dépend des besoins (aussi changeants) des agents économiques. Ajuster son travail au marché de l’emploi n’est donc pas raisonnable sur le long terme. La reconversion professionnelle se dirigera plus vers le métier-passion.

Concilier cœur et raison

Toutefois, il faut absolument prendre en compte que le travail se fait avec le cœur et la raison. La synergie doit être au rendez-vous entre le cœur et la raison : le cœur pour désigner le point à atteindre et la raison pour y trouver le chemin le plus approprié.