Confucius a dit « Faites un travail que vous aimez, et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Cette citation a de quoi nous inspirer, nous donner de l’élan pour vivre de notre passion. Mais actuellement, face aux aléas du marché de travail, au souci de rentabilité, peut-on encore se permettre de vivre de sa passion ?
Un travail épanouissant
Certes, il a été dit « Tu mangeras à la sueur de ton front », mais cela ne signifie pas que l’on doit souffrir dans son travail. Le travail ne doit pas être une corvée que l’on doit faire jusqu’à la fin de nos jours. Au contraire, le travail doit être source d’épanouissement. Il a été psychologiquement prouvé que si l’on se sent bien dans son travail, notre bien-être s’accroît. En plus, un travailleur heureux est plus efficace. Et la passion est le moteur de tout ça. Avec un métier-passion, l’auto-gratification sera le quotidien du travailleur. On s’épanouit dans le travail… On est heureux… On est plus passionné… On travaille efficacement. Un vrai cercle vertueux !
La question du marché du travail
Malheureusement, les étudiants ont tendance à choisir leur parcours en fonction des emplois présents sur le marché, au détriment du métier de leur rêve Et pourtant, le marché du travail évolue et cela à un rythme de plus en plus rapide. Des métiers naissent et des métiers disparaissent. Et la rentabilité du job dépend des besoins (aussi changeants) des agents économiques. Ajuster son travail au marché de l’emploi n’est donc pas raisonnable sur le long terme. La reconversion professionnelle se dirigera plus vers le métier-passion.
Concilier cœur et raison
Toutefois, il faut absolument prendre en compte que le travail se fait avec le cœur et la raison. La synergie doit être au rendez-vous entre le cœur et la raison : le cœur pour désigner le point à atteindre et la raison pour y trouver le chemin le plus approprié.