Quand bien même on aura à cibler son stage, faire en sorte qu’on ne tombe pas sur les stages photocopie-café, ceci peut nous arriver. Pourtant, à l’issue de notre stage, on doit produire un rapport. Mais si on n’a rien fait, qu’est-ce qu’on va écrire ?
Vous êtes là pour découvrir
Profitez de votre soit disant « oisiveté » pour découvrir ce qui se passe autour de vous. C’est d’ailleurs pour cela que vous êtes là. Mais pour vous rendre plus efficace, identifiez déjà sur quoi vous devez écrire dans votre rapport. Pour cela, fixez au préalable le thème de votre rapport, ses objectifs, et pourquoi pas le plan. Vous allez ainsi entrer dans l’entreprise comme un journaliste le ferait. Armé d’une liste de questions et de votre calepin, vous pourrez approcher les autres salariés quand ils seront disponibles. Cinq à dix minutes suffiront pour qu’ils vous décrivent leur travail. D’autres documents (organigramme, fiches techniques, etc.) sont facilement disponibles. Lisez-les pour comprendre l’organisation de l’entreprise. Pour plus étoffer votre rapport, apportez une analyse critique à ces descriptions. Apportez également des recommandations
Et si votre maître de stage n’est jamais là ?
Votre rapport de stage doit être noté, tant au niveau du contenu que de la présentation, et d’après l’appréciation de votre maître de stage. Mais si, dues à des emplois du temps trop chargés, le maître de stage ne vous a rencontré qu’une fois, au tout début, eh bien, ce n’est pas si grave. Votre stage doit vous permettre d’agir avec une certaine indépendance pour découvrir comment l’entreprise fonctionne. Vous aurez juste à livrer le rapport à votre maître de stage. Il y a beaucoup de chance qu’il ne le lise pas intégralement. Faites ainsi en sorte que votre introduction et conclusion soient irréprochables. Votre plan doit également être bien édifié et cohérent.